"En permission"

Par une douce soirée d'été Draven décida de se rendre à Morroc... En effet, le calme avait fait une apparition dans Midgard, il savait que cette période serait brève et retourna dans cette ville qu'il affectionnait tant. Arrivé la bas il se rendit à la taverne. Il n'y était jamais allé, là, devant le batiment, alors qu'il s'apprétait à rentrer quelqu'un ouvrit la porte....



EDIT: http://holy-soul.discutforum.com/ pour des exemple de ce quil est possible de faire...

Il faisait chaud ce soir...Et l'ambiance qui regnait dans la taverne ne l'était pas moins...HekThor s'y était réfugié après avoir aidé quelques personnes à se débrouiller dans cette rude région, et cette accalmie lui permettait enfin de profiter d'un moment de repos. Il s'était mis a une table a l'écart, ne voulant point qu'on le dérange. Cependant, une altercation éclata entre un voleur qui aparemment demandait des comptes à une personne... Il ne la voyait pas, celle-ci étant de dos, et déjà, une masse de curieux s'agglutinait autour de ce bruyant couple.

Le voleur exhorta son interlocuteur a sortir, il poussa la porte et...


[Boudiou J'ADORE! C'est chiant je pourrais pas en profiter avant belle lurette T__T
Bon j'arrete de me lamenter ^^]

Il ne voyait pas qui avait lancé cette sommation. Les badauds s'étaient tus et se tournèrent vers l'intrus. HekThor se décala sur sa chaise (décidément inconfortable...) pour mieux voir ce qui se passait. Enfin il pût voir l'arrivant : c'était Draven! Il n'aurait jamais cru le voir dans cet endroit aussi puant et débectant...

Certainement la rixe qui l'avait interpellé... Il admirait chez son mentor cette rigueur et cette justesse respectable, et ne doutait point de l'issue que prendrait l'évenement.

Le voleur se tourna vers Draven, et engagea une conversation avec lui qu'HekThor ne put saisir...Il ne comprit que quelques mots, provenant du fauteur de troubles :

"-...ce maudit prêtre...respecté...clauses du contrat..."

Bizarre...Que pouvait faire un prêtre avec un voleur de la pire espèce?...

Par deux personnes personnes qui n'etaient autres que EoLe et Reno qui se sentirent vexées et relançairent le brigand vers Draven qui...

La réception du message par faucon m’avait fait grandement plaisir. Mais la journée étant bien entamée il n’était plus question pour moi de retourner au doux pays des rêves.
Je me mis donc à la recherche de mes grimoires et je pu me plonger dans une intense lecture. J’apprenais tant de chose grâce à ces vieux livres. Presque autant que sur le terrain.

Les heures s’écoulaient et la lune fit son apparition. Une légère bise fit s’ouvrir la fenêtre et un vent frais (ce qui était peu commun pour la saison) vint me caresser le visage. Ceci me sortit de ma ‘méditation’. Lentement je me levais et allais prendre l’air à la fenêtre.

« Quelle belle soirée d'été. Cette ville est si calme ce soir. »

Je m’appuyais sur le rebord de la fenêtre, les bras tendus, et sortit légèrement la tête dehors. Je me mis a rêvasser en admirant cette ville entourée de sable si chaud la journée et pourtant si agréable à fouler le soir.
C’était décidé. Je pris ma tunique d’été, ma bible (qui ne me quitte normalement jamais) et sortit me changer les idées dans les rues et ruelles de Morroc.

Une fois sortit je pu apprécier la fraîcheur du sable fin sur mes pieds nus.

Je flânais tranquillement dans les petites ruelles faiblement éclairées, et mes pas finirent par m’amener devant un endroit que j’avais prit l’habitude d’éviter : un taverne.
Un léger grondement perçais les murs fragile de la taverne ce qui me laissais supposer que l’ambiance y était bonne sans pour autant être trop…..catastrophique.
Et pour la première fois de mon existence je me surpris à ouvrir la porte et à entrer dans l’infâme établissement.

En ouvrant la porte une forte odeur de sueur et d’alcool vint me piquer le nez. Bizarrement je ne réussis pas à me faire à cette odeur.
Je vit tout à coté de la porte une table libre. Je prit la peine de m’y asseoir et me mit à contempler l’endroit.
Que d’étranges personnages il y avait la. Les discutions allaient a tout va et le brouhaha était, en fait, à la limite du supportable.

« Mais quelle idée saugrenue aussi de s’aventurer dans un tel endroit de perdition…. »

Alors que je m’apprêtais à quitter ce lieu, une table attira mon attention. Trois sombres personnages se parlaient sur un ton que je qualifierais d’agressif. Les voix se firent de plus en plus fortes. L’un des personnages se leva. Il n’était pas très grand et avais de longs cheveux noirs. Sa carrure était celle d’un jeune homme, d’un gamin presque. L’aisance dont il faisais preuve et la rapidité de ses mouvement me laissèrent supposer qu’il était très agile et cela ne pouvais suggérer qu’une chose…..
Aussi délicatement et furtivement que possible, il mis une main dans le dos et sortit légèrement de son vêtement quelque chose qui, de loin, ressemblais a une dague.
Il commençais a faire preuve d’une grande nervosité et je le sentais prêt à se servir de son arme contre les deux autres personnes.

Je ne pouvais décemment pas laisser faire ça. Je décidais donc d’intervenir. Comment ? Je n’en avais pas la moindre idée mais je devais agir…et vite.

Aussi rapidement que possible je m’extirpais de ma chaise (peu pratique pour se mouvoir ces chaises….), et me dirigeais vers ces furieux lascars.

En arrivant à hauteur du jeune homme en noir, je posais ma main sur la comme pour l’empêcher de se servir de sa dague.

L’homme fit volte face et me jeta un regard froid plein de haine.

« Holà brave homme » lui dis-je avant qu’il n’essaye de faire quoi que ce soit.
« Peu m’importe vos problème jeune homme, je suis persuadé que tout ceci ne vaux pas un bain de sang. »

Les deux autres hommes qui l’accompagnaient en profitèrent pour s’éclipser, me laissant seul avec cet assassin ; car s’en était bien un.
Je commençais à me demander si j’avais pris la bonne décision.

« Comment ose tu me déranger de la sorte ? Ne vois tu pas que je suis occupé ? »
Il montrait presque ses dent tellement la fureur s’était emparée de lui.

« Ce ne sont pas tes affaire, petit fouille ***** »

Un tel langage avait pour conséquence de me choquer au plus haut point.

« Si tu tient a la vie je te conseille de me laisser tranquille et de partir le plus vite possible…. » Me dit il.

« Ecoute moi bien petit, je n’ai pas pour habitude de me laisser traiter de la sorte. Ce que je fait ici est pour ton bien afin de t’empêcher (bien qu’à mon avis il fut trop tard depuis trop longtemps) de commettre l’irréparable…. Et je crois bien y être arrivé. » Lui di- je en pointant du doigts les deux chaises désormais inoccupées.

Il tourna la tête rageusement vers les places qu’occupaient précédemment ses deux ‘amis’, puis me fit face à nouveau. Cette fois son visage était aussi rouge que ma Biretta.

D’un seul coup les bruits des discutions cessèrent et je sentit tous les regards rivés sur nous.

« Tu vas me le payer sale prêtre à la manque. Tu vas regretter le jour ou ton seigneur ta donné la vie. …»

Au fur et a mesure qu’il me criait dessus, proférant toutes sortes de menaces et d’injures, il me poussais en direction de la porte. Avait-il l’intention de mettre ses menaces à exécution, loin de tous témoins, dans une des ruelles désertes que j’affectionnais pourtant tellement.
Personne ne semblait vouloir lever le petit doigt pour m’aider. J’était seul face à ce psychopathe, et me trouvais bien embarrassé.

Une fois arrivé sur la porte il l’ouvrit et se heurta à un grand guerrier.
Il portait une imposante armure qui recouvrait tout son corps et son visage était dissimulé sous un magnifique et encombrant casque.
Je cru reconnaître Draven mais n’en était pas tout a fait sur a cause de la faible luminosité .

D’abord décontenancé, l’assassin arrêta de me hurler dessus et du lever la tête pour voir celle de Draven.

Surprit de se faire ainsi rentrer dedans Draven lui hurla
« Que se passe t il ici ? »

L’assassin reprit assez vite ses esprits et en me montrant du doigt lui expliquait qu’il avait un compte à me rendre et qu’il était dans son intérêt de se pousser de notre passage.

En me regardant je perçu de la part de Draven une expression de déception lorsqu’il me reconnu.

« Que lui veux tu ? »Demanda t il a l’assassin.

« Ce maudit prêtre est intervenu dans une histoire qui ne le concernais pas. Il ne respecte pas la vie privée des gens. A cause de lui, deux petites vermines qui m’ont escroquée se sont enfuies. On était en affaires et ils ont voulu me faire croire qu’ils avaient perdu tout nos zenis. On avais un contrat et ils ont voulu m’avoir.»

En repensant au pourquoi du comment, la rage qui s’était un moment dissipée refit surface aussi soudainement qu’elle était partie.

Draven qui un instant avait essayé de le calmer faillit se prendre un coup de la part de l’assassin qui visiblement en avait plus qu’assez d’être constamment interrompu dans ses affaires macabres. Draven esquiva aisément et envoya valser l’homme sur une table occupée.

Don vince harrassé par un long voyage avait attaché son peco peco qui se désaltérait dans l'abreuvoir, il avait toujour détesté ce genre d'endroit puant la sueur et la fumée. Il faut dire ce qui ait, Don était un chevalier un peut snob, il l'avait toujour été depuis qu'il était épéiste. Mais quel mellieur endroit pour se désaltérer que celui si, il était bien obligé de s'y rendre.

Une échoufourée s'était déclanchée, Don leva les yeux au ciel : "Mon dieu, ces barbares ne peuvent même pas respecter le moment ou les gens se désaltèrent, cette taverne où ils viènnent se reposer àpres une longue journée de..."

Le chevalier s'arrêta soudain, un nouveau visiteur avait fait son apparition : "Tien un croisé ? Vien-t-il aussi parce qu'il est obligé ?"

Il dévisagea l'inconnu et reconnu tout de suite le deuxièmme chef de la guilde, le paladin Draven. Sa surprise fut grande de le voir ici. Le voleur semblait vouloir sortir,mais Draven ne l'entendait pas de cette oreille. Il le fit valser dans la pièce à la table de deux gens qui en firent de même. Après l'avoir mit à terre avec son bouclier, contre tout attente, le croisé partit tranquillement. Qaudn un homme lança dans le dos de son supérieur, il vit Galindo qui du dehors la ratrapa in extrémis avant que celle ci se planta dans sa nuque:

"Les lâches, s'en prendre à 5 contre Draven, ils n'ont aucune morale et aucun honneur, sans doute des assasins sans scrupule. Je ne peut laisser faire cela je doit aider les miens contre cette injustice frapante."

La haine dans le regard, il s'approcha doucement des hommes qui avait tenté d se battre contre le pieu Draven.

Don était complettement out, il remercia vivement Galindo de l'avoir aidé, il ne pensait pas que cet assasin pouvait être si puissant :

"Ca m'apprendra a sous estimer mes adversaires pensa-t-il."

Il se releva après que Kaal lui eut prodigé des soins en se tenant le flanc toujour meurtrit

"Malgré que ma régénération soit éfficace, rien ne vaut un bon sort de soin."

Don Vince quitta la taverne et refusait l'aide de quiconque, il détestait que l'on s'inquiettait pour lui, peut être par fierté.

Il alla trouver un endroit ou passer la nuit et au moin une semaine pour soigner toutes ses blessures.

[HRP] Voilà c'est tout ce que j'ai trouvé pour expliquer que je ne posterait plus rien pendant 1 semaine parce que je part auourd'hui ^^[/HRP]

Il ne restait désormais plus que 3 assaillants. Draven se tourna vers celui par lequel tous les problèmes étaient arrivés. Il prit sa flamberge en main et se mit en position de combat. L'assassin était agile, cependant Draven s'était entrainer si durement que chacun de ses coups atteignai toujours leurs cibles [HRP] Très forte powa^^[/HRP]. L'assassin était en difficulté, après chaque attaque portée par Draven, une plaie supplémentaire faisait apparition sur son corps. EN outre chacun de ses coups était stopé par le bouclier étincellent du guerrier divin. Au bout de quelque petites minutes, l'assassin se retrouva à terre. Ses deux comparses perdirent toute motivation pour le combat et ils détalèrent, lâches jusqu'au bout.



- " Tu n'es plus en état de combattre... Un coup supplémentaire te serait fatal"

- "Maudit soit tu misérable envoyé de l'Eglise!!"

- "Tu ne reviendra plus jamais dans cette ville. Elle est bien trop belle pour accueillir des individus de ton espèce. Et tu ferais bien à l'avenir de m'éviter, car si je te croise de nouveau essayant de tuer, de voler quelqu'un ou autre, je ne serais pas aussi clément! Maintenant va t'en!"



L'assassin se releva et disparut soudainement. Le calme était revenu dans Morroc par cette belle soirée d'été...








[HRP]VOila, cela semble etre la fin de cette petite histoire...hormis si vous trouvez quelque chose^^ N'hésitez pas à en commencer une nouvelle, apparamment il y a des Amateurs, ca fait TROP plaisir!!! Et on encourage Gal qui semble avoir débuté le RP avec nous!! Continue comme ca Gal!![/HRP]

Galindo s'avancça vers Draven:
"Qu'elle combat, meme a trois il n'auraient pas fait le poids contre toi. Et c'est deux lache qui ont detalé comme des voleurs. Allons boires une chope pour se desaltèrer."

-"Moi je vous laisse, je n'aime pa trop se genre d'endroit" dit Kaal.

Les deux compèrent entrère dans la tavernes et croisèrent Maegwin qui s'apretait a sortir. Il y avait egalement Reno et Eole raide bourés sur une table et HektoR qui atendait deux table plus loin...


HRP: desolé Eole et Reno pour le "raide bouré" :p